Château-Chervix

Identification

Département

Numéro INSEE

87039

Cité

Nom antique

Carovicus ?

Nom médiéval

Caro Vico, Vicaria Carvicense, Charvix, Chervix, Chervix-hors-Château, Château-hors-Chervix

Numéro CAG

140

Classification fonctionnelle

Fiabilité agglomération

Recherches en cours

Oui

Etat de la fiche

Environnement géographique

Situation

La commune de Château-Chervix est localisée au sud du département de la Haute-Vienne, à environ 30 kilomètres de Limoges. C’est une commune rurale, actuellement peuplée de moins de 800 habitants, qui s’étend sur une superficie de 51,05 km² majoritairement recouverte de terres agricoles et boisées, dont la forêt de Fayat est l’entité la plus remarquable.

Topographie et altitude

Replat en interfluve de deux vallons : 400 m

Environnement géographique

Château-Chervix est implantée sur le massif des Monts de Fayat, un sous-ensemble de l’extrémité nord-ouest du Massif central qui scinde en deux parties (nord et sud) le Plateau limousin. Le point culminant de ce massif et de la commune est le Puy de Bar qui atteint 534 mètres d’altitude. La colline du bourg de Château-Chervix s’élève pour sa part à 418 mètres. Elle se situe au nord du Puy de Bar et n’est séparée de celui-ci que par un plateau bordé à l’ouest par la Breuilh et à l’est par un de ses affluents. Le plateau en lui-même s’élève à environ 400 mètres d’altitude.

Le principal cours d’eau traversant la commune est le ruisseau de la Breuilh, qui arrose le territoire du sud-ouest vers le nord-est ; la Breuilh et son principal affluent l’Issaure constituent une majeure partie des limites communales entre Château-Chervix et Vicq-sur-Breuilh. La commune est également arrosée par le Ruisseau Noir dans sa partie centre-est et par les ruisseaux de Mandeix et Lavaud-Bousquet au sud.

Le sous-sol de Château-Chervix est composé de roches métamorphiques et détritiques, essentiellement des gneiss, micaschistes et migmatites. L’élément géologique majeur est l’unité quartzo-feldspathique de Château-Chervix, prolongement occidental de l'unité de Masseret qui affleure à l'est. Cernée au nord par l'unité de la Briance, elle se limite assez abruptement, tant au nord qu'au sud, par des gneiss schisteux et s'effiloche vers l'ouest au sein de roches du même type. Son architecture générale est celle d'un dôme, le « dôme de Fayat » qui se distingue aisément des structures planaires qui le bordent. On observe également des affleurements de serpentinite, dont le plus important s’étend à cheval sur les communes de Château-Chervix et Meuzac (landes de La Flotte et du Cluzeau). À La Roche-l’Abeille, d’anciennes carrières d’extractions de serpentinite sont signalées (Delage 1930 : 191-206), cette roche pouvant être utilisée dans la décoration architecturale.

Notons également la présence de filons de quartz aurifères ayant donné lieu à une exploitation de l’or à la fin de l’époque protohistorique au moins. Au même titre que les affleurements de serpentinites, ces filons de quartz proviennent de cassures géologiques ayant favorisé leur intrusion. Le district aurifère de Saint-Yrieix-la-Perche (auquel Château-Chervix est rattachée) est le plus riche et le plus important en Limousin, qui par ailleurs est l’ancienne région de France comprenant le plus de sites aurifères, avec près de cent-vingt sites uniquement dans le district minier arédien. La composition des sols résulte directement de cette structure géologique : les gneiss se décomposant plus finement que les granites, il en ressort un sol compact et limoneux, favorable à la pousse des arbres, qui s’inscrit dans la catégorie des sols bruns acides. On trouve également des sols particulièrement argileux à proximité des filons de serpentinite, qui altèrent profondément et décomposent en argile les gneiss granitiques en place.

Réseau hydrographique

Rivière

Distance (km)

10.47

Historique des recherches

L’occupation antique du bourg de Château-Chervix, bien qu’identifiée au moins depuis les années 1920, n’a commencé a être véritablement étudiée qu’à partir de la fin des années 1970 et majoritairement dans les années 1980.

Ce sont d’abord des travaux agricoles qui ont mis au jour de manière fortuite des structures maçonnées et du mobilier antique dans l’actuelle parcelle D 142, dite “chapelle de Lespinasse”, information relayée par Franck Delage dans le Bulletin de la société archéologique et historique du Limousin (B.S.A.H.L.) dès 1924 et confirmée en 1927 à la suite d’une “excursion archéologique” dont le compte-rendu n’y consacre toutefois qu’un petit paragraphe1.

Il fallut donc attendre le dernier quart du XXe siècle pour que l’occupation antique de Château-Chervix suscite un réel intérêt suite à la mise au jour, une nouvelle fois de manière fortuite, de vestiges gallo-romains disséminés sur une superficie totale de plusieurs hectares. Ce sont plus particulièrement des travaux de terrassement, dans le cadre de l’aménagement du lotissement de La Buchille, qui ont bouleversé des restes gallo-romains au pied de la colline supportant le vieux bourg de Château-Chervix. Jean-Michel Desbordes, ancien directeur des Antiquités historiques du Limousin, chargea en 1976 Jean-François Priot, alors professeur d’histoire-géographie au lycée Suzanne Valadon à Limoges, de mener une enquête archéologique sur place afin d’évaluer l’ampleur et la nature des vestiges. Il en ressortit la conclusion qu’une occupation antique potentiellement étendue sur plusieurs dizaines d’hectares était enfouie sous le vieux bourg et les terres agricoles alors en cours d’aménagement2 ; ce fut le point de départ d’une décennie de prospections, sondages archéologiques et enquêtes orales afin de recueillir un maximum de données relatives au site dans son ensemble.

On notera que dès les premiers éléments en sa possession, l’hypothèse d’une agglomération secondaire a été fortement privilégiée par J-M. Desbordes (Desbordes 1978 : 188), en raison de la superficie supposée du site – jusqu’à quarante hectares sont évoqués – mais aussi par la continuité chronologique que l’occupation formerait entre d’une part les exploitations aurifères d’origine protohistorique et d’autre part un vicus mérovingien avec atelier monétaire ayant évolué en vicairie sous la dynastie carolingienne (Priot 1995 : 61-79). Contrairement aux aurières protohistoriques, essentiellement localisées dans la partie sud de la commune, l’atelier monétaire mérovingien et le siège de la vicairie carolingienne ne sont pas attestés archéologiquement. Sur la base des connaissances d’alors et des travaux en cours, le directeur des Antiquités historiques envisageait l’agglomération secondaire de Carovicus comme “l’un des centres économiques où se négociait l’or du Limousin” (Desbordes 1977 : 440-441). Ces considérations sont à remettre dans le contexte de la recherche archéologique de l’époque et méritent aujourd’hui d’être nuancées.

Au total, quatre campagnes de fouilles on été réalisées sous la direction de Jean-François Priot en 1980, 1981, 1983 et 1985 sur le site de La Buchille. Les deux premières ont principalement concerné le terrain connu de longue date sous le microtoponyme de “La Chapelle de Lespinasse” (parcelles D 139, D 142 et D 143) ; c’est là qu’ont été mis au jour les principaux vestiges, plusieurs structures antiques maçonnées orientées selon un axe nord-ouest – sud-est associés à des restes de sols en place, préalablement perturbés par de profonds labours (Priot 1980).

Entre la fin des années 1980 et les années 2010, le site de La Buchille n’a pas fait l’objet de recherches archéologiques d’envergure mais a continué de susciter la curiosité d’érudits locaux, étudiants et chercheurs en archéologie. En 2018, le Projet Collectif de Recherche HaGAL (« Habitat Groupé Antique de la cité des Lémovices ») a été lancé, avec pour but de recenser et étudier toutes les occupations gallo-romaines correspondant à un habitat groupé, au sens d’agglomération de plusieurs cellules familiales dans un espace organisé. Pour le site de La Buchille, le choix s'est porté sur une prospection géoradar, technique de prospection géophysique non-invasive, dans le but d'essayer de dresser une cartographie des vestiges enfouis.                                                                                                                                                                          

Deux parcelles on fait l’objet de prospections en juillet 2020 et août 2021 (Nurit, Caraire, Jubeau 2020 et Gouhier, Jubeau 2021). La première d’entre elles, la parcelle D 142, a été choisie car elle renferme la majorité des vestiges identifiés depuis les années 1980. La seconde parcelle (D 539) a également fait l'objet de quelques sondages dans les années 1980, mais c'est surtout sa position intercalée entre deux zones de plus forte densité en vestiges (et mitoyenne de la parcelle prospectée en 2020) qui a conduit à la retenir pour la campagne de prospection géoradar 2021.                 

Au terme des recherches menées en 2020-2021 (Baret et alii 2020 et 2021), les connaissances sur la nature du site et son potentiel archéologique ont été réactualisées. La villa pressentie par Jean-François Priot dans la parcelle D 142 se confirme, de par le plan classique offert par le bâtiment principal et les constructions adjacentes de sa pars urbana (partiellement sondée par J-F. Priot). Le géoradar restitue non seulement un plan bien plus précis et complet que les indices phytographiques révélés par les clichés aériens, mais il livre également des informations intéressantes sur la puissance stratigraphique des substructions. La présence d’un portique, immédiatement à l’ouest de la pars urbana, n’était jusqu’alors pas soupçonnée : la limite des parcelles D 142 et D 539 ayant par la suite servi de chemin ou route, la rupture de pente au confront de ces parcelles semblait résulter de l’ancien aménagement d'une chaussée de voie postérieure à l'Antiquité. Un bâtiment cultuel ou funéraire révélé entre le portique et le bâtiment principal de la pars urbana pose question, car il est rare de trouver ce genre d’’édifice si près de la partie résidentielle d’une villa dans la tradition gallo-romaine. Il faut toutefois se garder de conclusions trop hâtives, le rendu proposé par le georadar ne valant pas fouille archéologique. Il est possible aussi que certaines constructions n’appartiennent pas à la même phase d’occupation des lieux. Les informations récoltées dans la parcelle D 539 revêtent un caractère plus inédit encore, car cette prairie n’avait pas livré autant de vestiges que le champ voisin lors des sondages archéologiques de 1983. Le géoradar a mis en évidence deux tronçons de voie, leur intersection en patte d'oie, jalonnée de monuments potentiellement funéraires et de possibles sépultures associées. Ces indices semblent cohérents avec la présence d’une villa et éloignent un peu plus encore l’hypothèse d’une agglomération secondaire associée à celle-ci, sauf à démontrer à l’avenir que les monuments supposément funéraires n’en sont pas, ou que l’agglomération secondaire se situe plus à l'écart. À ce sujet, signalons que J-F. Priot avait identifié une portion de la voie principale plus à l’ouest, descendant vers le ruisseau de la Breuilh ; quelques maçonneries et des nappes de matériaux antiques avaient été mis au jour en bordure de voie, sur son flanc septentrional.

1Delage 1927, p. 481 : des restes de murs, des briques, des débris de tegulae, et d'imbrices ont été trouvés dans les champs de L'Espinasse, semblant indiquer la présence de restes d'habitation gallo-romaine de grande envergure déjà évoqués dans B.S.A.H.L., 71, p.-v. du 25/11/1924. F. Delage avait signalé ces vestiges au sud du bourg ; les labours ont révélé plusieurs murs en petit appareil avec un mortier dur à chaux abondante, de type gallo-romain. Ces ruines se situent sur une longue bande de terrain formant un plateau entre deux légères dépressions de terrain. Sur une grande partie des deux longs côtés de cette zone, on voyait les vestiges d'un mur bien construit ; l'ensemble avait été interprété comme une importante villa.

2“une enquête conduite chez les riverains […] atteste l’existence d’une nappe de débris continue sur 40 ha environ. Il s’agit à coup sûr d’une agglomération antique dont le nom nous est peut-être révélé par un triens mérovingien frappé en ce lieu : Carovicus.

Chronologie
Evolution ultérieure

Eglise

Oui

Si oui : Date d'implantation

Église Saint-Silvain : possiblement d'origine paléochrétienne, citée comme dépendance de l'abbaye Saint-Martial de Limoges en 1096. Église prieurale Notre-Dame de Chervix (ruinée) : Au moins antérieure au premier quart du XIIe siècle

Chef-lieu de paroisse

Oui

Atelier de frappe monétaire mérovingien ?

Oui

Si Oui, nom ?

Caro Vico

Vicus mérovingien ?

Oui

Si Oui, nom ?

Carovicus
Phasage:

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Fiabilité

Topographie
Etendue supposée

Phase

1

Fiabilité

Superficie

1.00

Phase

2

Fiabilité

Superficie

10.00

Réseaux
Voies terrestres:

Identifiant

CHATEAU-CHERVIX-VoieTerr-01

Identifiant

CHATEAU-CHERVIX-VoieTerr-02

Identifiant

CHATEAU-CHERVIX-VoieTerr-03

Organisation
Edifices religieux et nécroples
Temples et sanctuaires

Identifiant

CHATEAU-CHERVIX-Cultuel-1

Péribole

Oui

Phasage

Fiabilité

Fiabilité


Nécropole

Identifiant

CHATEAU-CHERVIX-Nécropole-1

Type de sépulture

Superficie

3000.00

Habitat

Identifiant

CHATEAU-CHERVIX-Habitat-1

Type d'habitat

Longueur

52.00

Largeur

44.00

Nombre de pièces

11.00

Activités artisanales


Synthèse

Bilan

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle. Les sondages archéologiques ouverts dans différentes zones du site ont montré que l'essentiel de l'occupation se situait sur le replat dominant la vallée de la Breuilh à l'ouest, vallée qu'une voie antique rejoignait et traversait, elle-même bordée de quelques constructions ou vestiges d'activité ancienne indéterminée. Aux soupçons initiaux d'un site aggloméré et dense sur plusieurs dizaines d'hectares, le résultat des fouilles, prospections et études diverses traduisait plutôt un site au maillage clairsemé, avec parfois au confront même de zones riche en substructions des espaces pauvres voire vides de vestiges.

La campagne de prospection géoradar réalisée en 2020 a livré des résultats qui ont entre autre confirmé la présence d’un édifice dont le plan ne laisse guère de doute quant à sa destination. Nous sommes manifestement en présence de l’ancienne pars urbana d’un établissement rural de type villa, organisée selon un plan rectangulaire avec une cour à péristyle ouverte au sud-est, des pavillons d’angle, un édifice cultuel ou funéraire et une galerie-porche monumentale, autant de détails architecturaux qui, associés aux dimensions globales de l’édifice (1600 m² environ pour la pars urbana), la classe parmi le groupe des « grandes villae » tel que défini par A. Ferdière (Ferdière 2010 : 358). Sur le plan typologique, il reste en l’état difficile de rattacher avec plus de précision la villa de La Buchille à un type d’établissement rural en particulier, faute d’en avoir cerné l’emprise générale. On ne dispose pas d’assez d’éléments pour caractériser notamment le type de cour agricole. Celle-ci pourrait s’étendre au sud-est (parcelle D 139) dans le vallon dominé par le hameau de Puychaumartin. Le groupe de substrctions localisé plus à l'écart au nord de la pars urbana n'est pas interprété en l'état, mais pourrait potentiellement constituer une partie de la pars rustica.

La campagne de prospection réalisée en 2021 a livré des résultats de qualité comparable à ceux obtenus en 2020, démontrant une fois de plus la pertinence du choix de l’acquisition de données au moyen du géoradar sur ce type de terrain. Les résultats de la campagne 2021 ont permis de répondre à une partie de la problématique de recherche initiée dans le cadre du PCR HaGAL. En premier lieu, la question de la continuité d’occupation du site entre la parcelle D 142 (partiellement fouillée en 1980, explorée au géoradar en 2020) et la zone occidentale située au-delà de la route départementale 70 (sondée en 1983) trouve une réponse positive. Il est manifeste que l’occupation antique de La Buchille localisée dans l’actuelle parcelle D 142 possédait une desserte routière d’importance depuis le nord-ouest, complétée par un deuxième axe obliquant vers le sud depuis une intersection à 130 m de la galerie-porche de la villa. On peut relever que l’axe directeur nord-ouest – sud-est de la « voie principale » est plus conforme à celui des bâtiments du groupe nord de la parcelle D 142 qu’à celui des vestiges de la pars urbana, ce qui n’empêche pas une possible articulation entre les vestiges du groupe nord et ceux de la pars urbana. En second lieu, il ressort que la zone au nord-ouest de la pars urbana est dévolue à la desserte routière du site, potentiellement jalonnée d'un espace funéraire (dont des monuments de type enclos avec ou sans pile funéraire), qui fait toutefois l'objet de débat. La possible présence de sépultures individuelles entre le supposé ensemble de bâtiments funéraires en bordure de voie et la pars urbana suggère d’orienter l’interprétation de l’actuelle parcelle D 539 comme l’ancienne nécropole de la villa, dont la proximité avec cette dernière et l’organisation générale des vestiges ne bouleversent pas les codes de la tradition gallo-romaine en la matière. Les anomalies relevées au niveau de l’intersection suggèrent plutôt des inhumations, mais nous ne pouvons en revanche pas préciser le type de sépulture potentiellement associé aux anomalies ponctuelles au nord-est de la voie, recouvrant quelques 1400 m² entre le bâtiment principal et la limite d’emprise du géoradar. Aucune sépulture n'avait cependant été formellement identifiée lors des sondages archéologiques de 1985.

Le site de La Buchille est donc, au terme des travaux réalisés dans le cadre du PCR HaGAL, considéré non plus comme une hypothétique agglomération secondaire mais comme un établissement rural de type grande villa.

 

Bibliographie

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