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Nom commun Bilan (Coupé)
Ahun

Il s’agit sans doute de l’une des plus importantes agglomérations de la cité des Lémovices. Si beaucoup d’éléments funéraires ou architecturaux sont en remploi dans le bourg et fournissent un aspect de la monumentalisation du site, ils apportent peu d’informations sur la morphologie. Différents espaces (funéraires, thermaux, habitats) se dessinent sans pour autant fournir une riche information sur la structuration de l’agglomération, la densité de l’occupation et l’urbanisation de cette dernière.

Blond

Les nombreuses découvertes, sur une importante superficie dans le Bois de la Tourette, et l’exploitation minière intensive de la zone attestent d’une implantation humaine fortement structurée et organisée. Il s’agit certainement d’un habitat groupé dont nous ne percevons actuellement que ponctuellement son organisation et son importance dans les activités d'extraction minière.

Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

La Souterraine

Même s’il est encore difficile de bien appréhender la morphologie de l’agglomération et la densité de l’occupation, il ne fait aucun doute qu’une ville antique soit présente à Bridiers. Les quelques fouilles menées et les différentes découvertes dans le bois montrent une intense occupation structurée du Ier au IIIe siècle. Il s’agit, malgré tout, sans doute, de l’une des agglomérations les mieux connues de la cité des Lémovices, qui, de fait, est classée au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.

Ladapeyre

L’étude du site des Montceaux, à travers trois campagnes de prospections géophysiques, a singulièrement renouvelé notre vision et notre interprétation du site. Cette découverte est parallèlement d’un apport substantiel pour l’étude des formes de l’habitat rural de la cité des Lémovices puisque le site correspond à l’une des rares villae à pavillons multiples alignés connues pour la Gaule Aquitaine et plus encore pour le territoire de la civitas.

Margerides

Les fouilles anciennes ne permettent pas d’aller actuellement au-delà de l’interprétation de sanctuaire. Même si des bâtiments annexes ont été perçus, ils ne sont pas interprétés, faute de fouille extensive. En l’absence d’habitats ou d’activités artisanales, il est difficile de proposer l’existence sur ce site d’une agglomération, même si le fonctionnement d’un tel sanctuaire devait nécessiter la présence de personnels permanents. Il en donc préférable, dans l’état actuel des données, de classer ce site au rang de fiabilité 0 des sites rejetés.

Saint-Fréjoux

L'occupation de Saint-Fréjoux est difficilement interprétable. Les édifices reconnus par la prospection géophysique, les sondages et les prospections pédestres montrent des bâtiments qui semblent monumentaux et qui pourraient faire partie d'une occupation assez vaste. Le mobilier retrouvé indique une occupation du Haut-Empire.

Saint-Goussaud

S’il est tentant de classer cette proposition au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées en raison de la présence d’un sanctuaire et d’un théâtre au carrefour de plusieurs voies, l’absence de structures d’habitat connues pose cependant question. Plusieurs mentions de découvertes de tuiles et de céramique à proximité tendent néanmoins à montrer que ces constructions ne seraient pas isolées avec presque 20 bâtiments signalés par l'abbé Dercier.

Saint-Merd-les-Oussines

Les vestiges mis au jour sur ce site ne correspondent pas à une agglomération. Il s’agit de la pars urbana d’une villa avec des thermes privés. Cette villa est accompagnée par deux mausolées. Il convient donc de classer ce site au rang de fiabilité 0 des sites rejetés comme agglomération.

Eglise

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Nom commun Bilan (Coupé)
Ahun

Il s’agit sans doute de l’une des plus importantes agglomérations de la cité des Lémovices. Si beaucoup d’éléments funéraires ou architecturaux sont en remploi dans le bourg et fournissent un aspect de la monumentalisation du site, ils apportent peu d’informations sur la morphologie. Différents espaces (funéraires, thermaux, habitats) se dessinent sans pour autant fournir une riche information sur la structuration de l’agglomération, la densité de l’occupation et l’urbanisation de cette dernière.

Blond

Les nombreuses découvertes, sur une importante superficie dans le Bois de la Tourette, et l’exploitation minière intensive de la zone attestent d’une implantation humaine fortement structurée et organisée. Il s’agit certainement d’un habitat groupé dont nous ne percevons actuellement que ponctuellement son organisation et son importance dans les activités d'extraction minière.

Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

Gannat

Dans leur étude des centres de production de céramique du département de l’Allier, D. Lallemand et P. Vallat posaient la question d’une agglomération ou d’une villa en ce qui concerne l’atelier du faubourg Saint-Etienne. Les deux sites mis au jour au nord livrent des vestiges qui semblent caractéristiques d’une villa : marbre, statuaires, hypocauste, antéfixe, meules. L’épandage de mobilier observé dans le bourg de Gannat, au niveau de la place de

Gouzon

Le passage de la voie Autun-Limoges et d’un second axe Pierrefitte-Clermont semble attester la présence d’un carrefour antique. Le long de l’axe Autun-Limoges, des sépultures ont pu être mises au jour. Ces éléments pourraient attester d’une occupation mais l’absence de vestiges caractéristiques d’un ou plusieurs habitats ne permet pas de préciser la nature de l’occupation. Dans l’attente de nouvelles découvertes grâce à l’archéologie préventive, il reste plus prudent de classer ce site au rang de fiabilité 1 des agglomérations hypothétiques.

La Souterraine

Même s’il est encore difficile de bien appréhender la morphologie de l’agglomération et la densité de l’occupation, il ne fait aucun doute qu’une ville antique soit présente à Bridiers. Les quelques fouilles menées et les différentes découvertes dans le bois montrent une intense occupation structurée du Ier au IIIe siècle. Il s’agit, malgré tout, sans doute, de l’une des agglomérations les mieux connues de la cité des Lémovices, qui, de fait, est classée au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.

Moissat

Les découvertes sur la commune de Moissat, ne permettent pas de soutenir la proposition d’une agglomération antique. Si la commune est riche de sites romains, leur dispersion sur le territoire de la commune et les données archéologiques disponibles attestent une mise en valeur importante de la plaine par un maillage d’habitats ruraux dont les plus importants peuvent être interprétés comme des villae. De fait, il convient de classer cette proposition au
rang de fiabilité 0 des sites rejetés.

Pontarion

L'importante nécropole est certainement liée à une vaste occupation antique à proximité. Les découvertes de structures en contrebas, le long de la voie de Lyon à Saintes, à proximité d’un carrefour semble attester l’existence d’un habitat. Cependant, en l’absence d’éléments suffisants sur sa caractérisation, sa superficie, sa morphologie, il convient de classer ce site au rang de fiabilité 1 des sites hypothétiques dans l’attente de précisions complémentaires.

Chef lieu de paroisse

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Nom commun Bilan (Coupé)
Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

Atelier de frappe monétaire mérovingien

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Ahun

Il s’agit sans doute de l’une des plus importantes agglomérations de la cité des Lémovices. Si beaucoup d’éléments funéraires ou architecturaux sont en remploi dans le bourg et fournissent un aspect de la monumentalisation du site, ils apportent peu d’informations sur la morphologie. Différents espaces (funéraires, thermaux, habitats) se dessinent sans pour autant fournir une riche information sur la structuration de l’agglomération, la densité de l’occupation et l’urbanisation de cette dernière.

Blond

Les nombreuses découvertes, sur une importante superficie dans le Bois de la Tourette, et l’exploitation minière intensive de la zone attestent d’une implantation humaine fortement structurée et organisée. Il s’agit certainement d’un habitat groupé dont nous ne percevons actuellement que ponctuellement son organisation et son importance dans les activités d'extraction minière.

Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

Darnac

L’hypothèse d’un habitat groupé sur cette commune est avancée par J. Perrier en 1989 à partir de la monnaie qui attesterait un vicus mérovingien et qui, pour l’auteur, pourrait être d’origine antique (Perrier 1993 : 71).

L’attestation d’un vicus mérovingien par la découverte d’une monnaie reste hypothétique et l’attribution de son origine à l’Antiquité l’est encore plus, d’autant qu’aucune découverte n’est enregistrée ni dans Patriarche, ni dans la CAG, ni dans aucune référence bibliographique consultée.

Riom

Si la commune de Riom apparaît comme un vicus mérovingien, les découvertes archéologiques pour l’Antiquité ne permettent pas de valider une origine antique à ce dernier sous la forme d’une agglomération, comme le proposait G. Fournier (1962 : 138). En effet, l’interprétation comme habitats ruraux et sanctuaire des sites recensés n’est pas à remettre en question et la dispersion de ces derniers sur la commune ne trahit aucun éventuel

Sauviat-sur-Vige

Les seules découvertes archéologiques réalisées sur la commune concernant des espaces funéraires. Il est donc délicat de proposer une interprétation d’agglomération sur ces seuls arguments d'autant que le nombre de sépultures n'est pas très élevé. Si cette commune est actuellement retenue comme localisation du Praetorium de la Table de Peutinger (et non Saint-Goussaud, voir notice), cette hypothèse ne repose que sur la présence de sépultures, le passage de la voie antique et un calcul de distance.

Vicus mérovingien

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Nom commun Bilan (Coupé)
Ahun

Il s’agit sans doute de l’une des plus importantes agglomérations de la cité des Lémovices. Si beaucoup d’éléments funéraires ou architecturaux sont en remploi dans le bourg et fournissent un aspect de la monumentalisation du site, ils apportent peu d’informations sur la morphologie. Différents espaces (funéraires, thermaux, habitats) se dessinent sans pour autant fournir une riche information sur la structuration de l’agglomération, la densité de l’occupation et l’urbanisation de cette dernière.

Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

Egletons

Si les découvertes, principalement sur la commune de Rosiers-d’Égletons (le bourg médiéval d’Égletons limitant les investigations), attestent d’une occupation antique du territoire, elles ne permettent pas actuellement de proposer l’hypothèse d’une agglomération, uniquement justifiée par un carrefour routier probable et une pérennité comme vicus mérovingien. Aucune concentration antique n’est signalée et les découvertes de céramique et de tuile sont insuffisantes pour attester d’une agglomération.

Moussages

Fournier G. (2011) Le peuplement rural en Basse Auvergne durant le Haut Moyen-Age 2011 (3e) éd. Clermont-Ferrand : Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand.
Mitton C. (2004) Les sanctuaires ruraux gallo-romains arvernes et vellaves. Approche critique de la documentation bibliographique et archéologique. Volume IV : Corpus Cantal. Mémoire de Master. Clermont-Ferrand : Blaise Pascal - Clermont II.
Provost M., Vallat P. (1996) Carte archéologique de la Gaule, Le Cantal. Paris : Académie des Inscriptions et Belles Lettres.

Riom

Si la commune de Riom apparaît comme un vicus mérovingien, les découvertes archéologiques pour l’Antiquité ne permettent pas de valider une origine antique à ce dernier sous la forme d’une agglomération, comme le proposait G. Fournier (1962 : 138). En effet, l’interprétation comme habitats ruraux et sanctuaire des sites recensés n’est pas à remettre en question et la dispersion de ces derniers sur la commune ne trahit aucun éventuel

Vic-le-Comte

Les informations disponibles sur cette commune sont trop faibles pour justifier de la présence d’une agglomération antique au seul argument qu’il s’agisse d’un vicus mérovingien. Aussi cette proposition est classée au rang 0 des sites rejetés.

Présence de portique : Vestiges de rue

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Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Sources aménagées : Sources et puits

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Voingt

Si la qualification d’habitat groupé pour ce site ne fait aucun doute, beaucoup de questions sont encore présentes : morphologie, densité de l’habitat, présence de rues, de monuments publics… Seule une reprise intensive des études sur ce site permettrait d’apporter des réponses (prospections géophysiques, fouilles extensives) et d’étoffer le dossier des agglomérations arvernes suffisamment connues pour appréhender leur morphologie et leur rôle au sein de la cité.

Mur de scène : Edifices de spectacles

Péribole : Temples et sanctuaires

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Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

Ladapeyre

L’étude du site des Montceaux, à travers trois campagnes de prospections géophysiques, a singulièrement renouvelé notre vision et notre interprétation du site. Cette découverte est parallèlement d’un apport substantiel pour l’étude des formes de l’habitat rural de la cité des Lémovices puisque le site correspond à l’une des rares villae à pavillons multiples alignés connues pour la Gaule Aquitaine et plus encore pour le territoire de la civitas.

Saint-Fréjoux

L'occupation de Saint-Fréjoux est difficilement interprétable. Les édifices reconnus par la prospection géophysique, les sondages et les prospections pédestres montrent des bâtiments qui semblent monumentaux et qui pourraient faire partie d'une occupation assez vaste. Le mobilier retrouvé indique une occupation du Haut-Empire.

Saint-Gilles-les-Forêts (Mont-Gargan)

Les connaissances sur l'occupation antique sont très maigres et les descriptions du site dans les rapports anciens des fouilleurs du XIXe s. sont très succinctes. Hormis le sanctuaire et la voie, aucun autre établissement ne semble être connu à Saint-Gilles-les-Forêts.

Saint-Goussaud

S’il est tentant de classer cette proposition au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées en raison de la présence d’un sanctuaire et d’un théâtre au carrefour de plusieurs voies, l’absence de structures d’habitat connues pose cependant question. Plusieurs mentions de découvertes de tuiles et de céramique à proximité tendent néanmoins à montrer que ces constructions ne seraient pas isolées avec presque 20 bâtiments signalés par l'abbé Dercier.

Saint-Pierre-Bellevue

La présence d’un important sanctuaire n’est pas suffisant pour attester d’un habitat groupé, même si ce dernier semble implanté à proximité d’une importante voie antique et d’un axe pré-romain.

Coffre funéraire : Sépultures isolées

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Nom commun Bilan (Coupé)
Ahun

Il s’agit sans doute de l’une des plus importantes agglomérations de la cité des Lémovices. Si beaucoup d’éléments funéraires ou architecturaux sont en remploi dans le bourg et fournissent un aspect de la monumentalisation du site, ils apportent peu d’informations sur la morphologie. Différents espaces (funéraires, thermaux, habitats) se dessinent sans pour autant fournir une riche information sur la structuration de l’agglomération, la densité de l’occupation et l’urbanisation de cette dernière.

Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Crozant

Cette proposition de G. Lintz (information orale, installation comparable à celle d’Uzerche), en raison d’une longue occupation de l’éperon du Néolithique au Moyen Âge (avec cependant une lacune à l’Âge du Fer et au Haut-Empire), n’est pas suffisamment documentée archéologiquement pour dépasser l'interprétation comme occupation rurale du Bas-Empire attestée par de la céramique sigillée d’Argonne et quatre monnaies.

Gouzon

Le passage de la voie Autun-Limoges et d’un second axe Pierrefitte-Clermont semble attester la présence d’un carrefour antique. Le long de l’axe Autun-Limoges, des sépultures ont pu être mises au jour. Ces éléments pourraient attester d’une occupation mais l’absence de vestiges caractéristiques d’un ou plusieurs habitats ne permet pas de préciser la nature de l’occupation. Dans l’attente de nouvelles découvertes grâce à l’archéologie préventive, il reste plus prudent de classer ce site au rang de fiabilité 1 des agglomérations hypothétiques.

Guéret

Les découvertes, malgré leur richesse, ne sont pas suffisantes pour attester d’une agglomération. Il est certain qu’une occupation dense dans le secteur de Guéret soit envisageable, celle-ci semble ancienne et structurée (oppidum), malheureusement les découvertes restent trop faibles pour permettre une caractérisation correcte. Si l’on peut espérer que le développement de l’archéologie préventive apporte de nouvelles données exploitables, il reste difficile actuellement de maintenir la proposition d’une agglomération sur cette commune.

La Souterraine

Même s’il est encore difficile de bien appréhender la morphologie de l’agglomération et la densité de l’occupation, il ne fait aucun doute qu’une ville antique soit présente à Bridiers. Les quelques fouilles menées et les différentes découvertes dans le bois montrent une intense occupation structurée du Ier au IIIe siècle. Il s’agit, malgré tout, sans doute, de l’une des agglomérations les mieux connues de la cité des Lémovices, qui, de fait, est classée au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.

Ladapeyre

L’étude du site des Montceaux, à travers trois campagnes de prospections géophysiques, a singulièrement renouvelé notre vision et notre interprétation du site. Cette découverte est parallèlement d’un apport substantiel pour l’étude des formes de l’habitat rural de la cité des Lémovices puisque le site correspond à l’une des rares villae à pavillons multiples alignés connues pour la Gaule Aquitaine et plus encore pour le territoire de la civitas.

Saint-Merd-les-Oussines

Les vestiges mis au jour sur ce site ne correspondent pas à une agglomération. Il s’agit de la pars urbana d’une villa avec des thermes privés. Cette villa est accompagnée par deux mausolées. Il convient donc de classer ce site au rang de fiabilité 0 des sites rejetés comme agglomération.

Salon-la-Tour

Actuellement, les données archéologiques sur la commune sont insuffisantes pour soutenir l’hypothèse d’une agglomération uniquement supposée à partir d’une analyse toponymique et étymologique. Les études réalisées montrent une occupation du sol de type rural pour l’Antiquité avec plusieurs habitats dispersés sur le territoire.

Sauviat-sur-Vige

Les seules découvertes archéologiques réalisées sur la commune concernant des espaces funéraires. Il est donc délicat de proposer une interprétation d’agglomération sur ces seuls arguments d'autant que le nombre de sépultures n'est pas très élevé. Si cette commune est actuellement retenue comme localisation du Praetorium de la Table de Peutinger (et non Saint-Goussaud, voir notice), cette hypothèse ne repose que sur la présence de sépultures, le passage de la voie antique et un calcul de distance.

Vic-le-Comte

Les informations disponibles sur cette commune sont trop faibles pour justifier de la présence d’une agglomération antique au seul argument qu’il s’agisse d’un vicus mérovingien. Aussi cette proposition est classée au rang 0 des sites rejetés.

Voingt

Si la qualification d’habitat groupé pour ce site ne fait aucun doute, beaucoup de questions sont encore présentes : morphologie, densité de l’habitat, présence de rues, de monuments publics… Seule une reprise intensive des études sur ce site permettrait d’apporter des réponses (prospections géophysiques, fouilles extensives) et d’étoffer le dossier des agglomérations arvernes suffisamment connues pour appréhender leur morphologie et leur rôle au sein de la cité.

Coffre funéraire : Nécropole

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Nom commun Bilan (Coupé)
Ahun

Il s’agit sans doute de l’une des plus importantes agglomérations de la cité des Lémovices. Si beaucoup d’éléments funéraires ou architecturaux sont en remploi dans le bourg et fournissent un aspect de la monumentalisation du site, ils apportent peu d’informations sur la morphologie. Différents espaces (funéraires, thermaux, habitats) se dessinent sans pour autant fournir une riche information sur la structuration de l’agglomération, la densité de l’occupation et l’urbanisation de cette dernière.

Ambrugeat

Une reprise de l’étude du secteur du Chambon / Séchemaille (nécropole, habitat ?) serait nécessaire afin d’éclairer le type d’occupation auquel se rattache cette importante nécropole. Les données sont, en effet, actuellement insuffisantes pour attester la présence d’un habitat groupé uniquement à partir de la présence d’une nécropole relativement développée (cinquantaine d’incinérations).

Antignac

Les faibles découvertes ne permettent pas de proposer d’interprétation des sites qui sont dispersés sur l’ensemble de la commune. Il n’est alors pas possible de maintenir la proposition d’agglomération antique, même si une occupation (habitat rural, sanctuaire ?) est sans doute présente le long d’une ancienne voie. De fait, il convient de classer cette proposition au rang de fiabilité 0 des sites rejetés.

Egletons

Si les découvertes, principalement sur la commune de Rosiers-d’Égletons (le bourg médiéval d’Égletons limitant les investigations), attestent d’une occupation antique du territoire, elles ne permettent pas actuellement de proposer l’hypothèse d’une agglomération, uniquement justifiée par un carrefour routier probable et une pérennité comme vicus mérovingien. Aucune concentration antique n’est signalée et les découvertes de céramique et de tuile sont insuffisantes pour attester d’une agglomération.

Gouzon

Le passage de la voie Autun-Limoges et d’un second axe Pierrefitte-Clermont semble attester la présence d’un carrefour antique. Le long de l’axe Autun-Limoges, des sépultures ont pu être mises au jour. Ces éléments pourraient attester d’une occupation mais l’absence de vestiges caractéristiques d’un ou plusieurs habitats ne permet pas de préciser la nature de l’occupation. Dans l’attente de nouvelles découvertes grâce à l’archéologie préventive, il reste plus prudent de classer ce site au rang de fiabilité 1 des agglomérations hypothétiques.

La Souterraine

Même s’il est encore difficile de bien appréhender la morphologie de l’agglomération et la densité de l’occupation, il ne fait aucun doute qu’une ville antique soit présente à Bridiers. Les quelques fouilles menées et les différentes découvertes dans le bois montrent une intense occupation structurée du Ier au IIIe siècle. Il s’agit, malgré tout, sans doute, de l’une des agglomérations les mieux connues de la cité des Lémovices, qui, de fait, est classée au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.

Pontarion

L'importante nécropole est certainement liée à une vaste occupation antique à proximité. Les découvertes de structures en contrebas, le long de la voie de Lyon à Saintes, à proximité d’un carrefour semble attester l’existence d’un habitat. Cependant, en l’absence d’éléments suffisants sur sa caractérisation, sa superficie, sa morphologie, il convient de classer ce site au rang de fiabilité 1 des sites hypothétiques dans l’attente de précisions complémentaires.

Rempnat

Loin d’être parmi les sites funéraires les plus développés de la cité des Lémovices, ces deux gisements correspondraient sans doute à des espaces funéraires d’habitats ruraux au regard de la faiblesse du nombre de sépultures retrouvées.

Il convient alors de classer cette suggestion de G. Lintz au rang de fiabilité 0 des sites rejetés. Cependant, il ne faut pas oublier qu’aucune recherche étendue n’a été menée et que les données archéologiques disponibles datent majoritairement des années 1950.

Saint-Goussaud

S’il est tentant de classer cette proposition au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées en raison de la présence d’un sanctuaire et d’un théâtre au carrefour de plusieurs voies, l’absence de structures d’habitat connues pose cependant question. Plusieurs mentions de découvertes de tuiles et de céramique à proximité tendent néanmoins à montrer que ces constructions ne seraient pas isolées avec presque 20 bâtiments signalés par l'abbé Dercier.

Saint-Julien-aux-Bois

Cette hypothèse, proposée par G. Lintz lors d’un entretien en raison de l’importante nécropole, ne peut être classée qu’au rang de fiabilité 1 des agglomérations hypothétiques. Il est, en effet, nécessaire de reprendre une étude de terrain globale de la commune afin de préciser l’environnement archéologique de cette nécropole qui, de par son importance, ne peut correspondre au lieu de sépulture d’un simple habitat rural.

Saint-Pierre-Bellevue

La présence d’un important sanctuaire n’est pas suffisant pour attester d’un habitat groupé, même si ce dernier semble implanté à proximité d’une importante voie antique et d’un axe pré-romain.

Saint-Yrieix-La-Montagne

La faiblesse des découvertes sur cette commune ne permet pas de préciser si une agglomération antique est présente. Cette suggestion de G. Lintz est difficile à étayer et il est sans doute plus prudent de proposer un classement au rang des sites rejetés malgré la relative importance de la nécropole qui pourrait correspondre à une petite nécropole d’habitats isolés (Lintz 2009 : 168).

Sauviat-sur-Vige

Les seules découvertes archéologiques réalisées sur la commune concernant des espaces funéraires. Il est donc délicat de proposer une interprétation d’agglomération sur ces seuls arguments d'autant que le nombre de sépultures n'est pas très élevé. Si cette commune est actuellement retenue comme localisation du Praetorium de la Table de Peutinger (et non Saint-Goussaud, voir notice), cette hypothèse ne repose que sur la présence de sépultures, le passage de la voie antique et un calcul de distance.

Savennes

Il est difficile de présenter une interprétation pour ce site. L’hypothèse d’une agglomération proposée par G. Lintz (information orale) semble délicate à soutenir. Si une nécropole d’une relative importance (une vingtaine d’incinérations) a été observée à proximité d’un habitat, ce dernier a été interprété comme une villa et il est difficile à partir des données disponibles (anciennes et peu précises) de revenir sur cette interprétation. Les outils agricoles découverts au sein de la nécropole soutiennent cette association avec un habitat rural.

Voingt

Si la qualification d’habitat groupé pour ce site ne fait aucun doute, beaucoup de questions sont encore présentes : morphologie, densité de l’habitat, présence de rues, de monuments publics… Seule une reprise intensive des études sur ce site permettrait d’apporter des réponses (prospections géophysiques, fouilles extensives) et d’étoffer le dossier des agglomérations arvernes suffisamment connues pour appréhender leur morphologie et leur rôle au sein de la cité.

Thermes : Habitat

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Nom commun Bilan (Coupé)
Ladapeyre

L’étude du site des Montceaux, à travers trois campagnes de prospections géophysiques, a singulièrement renouvelé notre vision et notre interprétation du site. Cette découverte est parallèlement d’un apport substantiel pour l’étude des formes de l’habitat rural de la cité des Lémovices puisque le site correspond à l’une des rares villae à pavillons multiples alignés connues pour la Gaule Aquitaine et plus encore pour le territoire de la civitas.

Fouilles programmées

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Blond

Les nombreuses découvertes, sur une importante superficie dans le Bois de la Tourette, et l’exploitation minière intensive de la zone attestent d’une implantation humaine fortement structurée et organisée. Il s’agit certainement d’un habitat groupé dont nous ne percevons actuellement que ponctuellement son organisation et son importance dans les activités d'extraction minière.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

La Souterraine

Même s’il est encore difficile de bien appréhender la morphologie de l’agglomération et la densité de l’occupation, il ne fait aucun doute qu’une ville antique soit présente à Bridiers. Les quelques fouilles menées et les différentes découvertes dans le bois montrent une intense occupation structurée du Ier au IIIe siècle. Il s’agit, malgré tout, sans doute, de l’une des agglomérations les mieux connues de la cité des Lémovices, qui, de fait, est classée au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.

Margerides

Les fouilles anciennes ne permettent pas d’aller actuellement au-delà de l’interprétation de sanctuaire. Même si des bâtiments annexes ont été perçus, ils ne sont pas interprétés, faute de fouille extensive. En l’absence d’habitats ou d’activités artisanales, il est difficile de proposer l’existence sur ce site d’une agglomération, même si le fonctionnement d’un tel sanctuaire devait nécessiter la présence de personnels permanents. Il en donc préférable, dans l’état actuel des données, de classer ce site au rang de fiabilité 0 des sites rejetés.

Pontarion

L'importante nécropole est certainement liée à une vaste occupation antique à proximité. Les découvertes de structures en contrebas, le long de la voie de Lyon à Saintes, à proximité d’un carrefour semble attester l’existence d’un habitat. Cependant, en l’absence d’éléments suffisants sur sa caractérisation, sa superficie, sa morphologie, il convient de classer ce site au rang de fiabilité 1 des sites hypothétiques dans l’attente de précisions complémentaires.

Saint-Goussaud

S’il est tentant de classer cette proposition au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées en raison de la présence d’un sanctuaire et d’un théâtre au carrefour de plusieurs voies, l’absence de structures d’habitat connues pose cependant question. Plusieurs mentions de découvertes de tuiles et de céramique à proximité tendent néanmoins à montrer que ces constructions ne seraient pas isolées avec presque 20 bâtiments signalés par l'abbé Dercier.

Voingt

Si la qualification d’habitat groupé pour ce site ne fait aucun doute, beaucoup de questions sont encore présentes : morphologie, densité de l’habitat, présence de rues, de monuments publics… Seule une reprise intensive des études sur ce site permettrait d’apporter des réponses (prospections géophysiques, fouilles extensives) et d’étoffer le dossier des agglomérations arvernes suffisamment connues pour appréhender leur morphologie et leur rôle au sein de la cité.

Couverture IGN

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Nom commun Bilan (Coupé)
Blond

Les nombreuses découvertes, sur une importante superficie dans le Bois de la Tourette, et l’exploitation minière intensive de la zone attestent d’une implantation humaine fortement structurée et organisée. Il s’agit certainement d’un habitat groupé dont nous ne percevons actuellement que ponctuellement son organisation et son importance dans les activités d'extraction minière.

Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

Gouzon

Le passage de la voie Autun-Limoges et d’un second axe Pierrefitte-Clermont semble attester la présence d’un carrefour antique. Le long de l’axe Autun-Limoges, des sépultures ont pu être mises au jour. Ces éléments pourraient attester d’une occupation mais l’absence de vestiges caractéristiques d’un ou plusieurs habitats ne permet pas de préciser la nature de l’occupation. Dans l’attente de nouvelles découvertes grâce à l’archéologie préventive, il reste plus prudent de classer ce site au rang de fiabilité 1 des agglomérations hypothétiques.

La Souterraine

Même s’il est encore difficile de bien appréhender la morphologie de l’agglomération et la densité de l’occupation, il ne fait aucun doute qu’une ville antique soit présente à Bridiers. Les quelques fouilles menées et les différentes découvertes dans le bois montrent une intense occupation structurée du Ier au IIIe siècle. Il s’agit, malgré tout, sans doute, de l’une des agglomérations les mieux connues de la cité des Lémovices, qui, de fait, est classée au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.

Ladapeyre

L’étude du site des Montceaux, à travers trois campagnes de prospections géophysiques, a singulièrement renouvelé notre vision et notre interprétation du site. Cette découverte est parallèlement d’un apport substantiel pour l’étude des formes de l’habitat rural de la cité des Lémovices puisque le site correspond à l’une des rares villae à pavillons multiples alignés connues pour la Gaule Aquitaine et plus encore pour le territoire de la civitas.

Saint-Goussaud

S’il est tentant de classer cette proposition au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées en raison de la présence d’un sanctuaire et d’un théâtre au carrefour de plusieurs voies, l’absence de structures d’habitat connues pose cependant question. Plusieurs mentions de découvertes de tuiles et de céramique à proximité tendent néanmoins à montrer que ces constructions ne seraient pas isolées avec presque 20 bâtiments signalés par l'abbé Dercier.

Archéologie préventive

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Nom commun Bilan (Coupé)
Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

Gouzon

Le passage de la voie Autun-Limoges et d’un second axe Pierrefitte-Clermont semble attester la présence d’un carrefour antique. Le long de l’axe Autun-Limoges, des sépultures ont pu être mises au jour. Ces éléments pourraient attester d’une occupation mais l’absence de vestiges caractéristiques d’un ou plusieurs habitats ne permet pas de préciser la nature de l’occupation. Dans l’attente de nouvelles découvertes grâce à l’archéologie préventive, il reste plus prudent de classer ce site au rang de fiabilité 1 des agglomérations hypothétiques.

La Souterraine

Même s’il est encore difficile de bien appréhender la morphologie de l’agglomération et la densité de l’occupation, il ne fait aucun doute qu’une ville antique soit présente à Bridiers. Les quelques fouilles menées et les différentes découvertes dans le bois montrent une intense occupation structurée du Ier au IIIe siècle. Il s’agit, malgré tout, sans doute, de l’une des agglomérations les mieux connues de la cité des Lémovices, qui, de fait, est classée au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.

Relevés

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Nom commun Bilan (Coupé)
Blond

Les nombreuses découvertes, sur une importante superficie dans le Bois de la Tourette, et l’exploitation minière intensive de la zone attestent d’une implantation humaine fortement structurée et organisée. Il s’agit certainement d’un habitat groupé dont nous ne percevons actuellement que ponctuellement son organisation et son importance dans les activités d'extraction minière.

Brive-la-Gaillarde

En l'état actuel des connaissances, le site antique de Brive apparait essentiellement comme un espace à vocation artisanale, dont l'activité est très majoritairement dominée par la production de vaisselles et figurines en céramique et dans une moindre mesure de terre cuite architecturale. On distingue deux phases de production distinctes, l'une allant de la fin du Ier à la première moitié du IIe siècle, l'autre couvrant la deuxième moitié du IIe et le début du IIIe siècle.

Château-Chervix

Les importants travaux de recherche réalisés par J-F. Priot à partir des années 1980 ont permis de déterminer la présence d'une occupation antique de grande ampleur à La Buchille, dont une partie au moins des vestiges renvoyait à un vaste édifice résidentiel mis en place au plus tôt dans le courant du IIe siècle.

La Souterraine

Même s’il est encore difficile de bien appréhender la morphologie de l’agglomération et la densité de l’occupation, il ne fait aucun doute qu’une ville antique soit présente à Bridiers. Les quelques fouilles menées et les différentes découvertes dans le bois montrent une intense occupation structurée du Ier au IIIe siècle. Il s’agit, malgré tout, sans doute, de l’une des agglomérations les mieux connues de la cité des Lémovices, qui, de fait, est classée au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.

Ladapeyre

L’étude du site des Montceaux, à travers trois campagnes de prospections géophysiques, a singulièrement renouvelé notre vision et notre interprétation du site. Cette découverte est parallèlement d’un apport substantiel pour l’étude des formes de l’habitat rural de la cité des Lémovices puisque le site correspond à l’une des rares villae à pavillons multiples alignés connues pour la Gaule Aquitaine et plus encore pour le territoire de la civitas.

Pontarion

L'importante nécropole est certainement liée à une vaste occupation antique à proximité. Les découvertes de structures en contrebas, le long de la voie de Lyon à Saintes, à proximité d’un carrefour semble attester l’existence d’un habitat. Cependant, en l’absence d’éléments suffisants sur sa caractérisation, sa superficie, sa morphologie, il convient de classer ce site au rang de fiabilité 1 des sites hypothétiques dans l’attente de précisions complémentaires.

Saint-Goussaud

S’il est tentant de classer cette proposition au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées en raison de la présence d’un sanctuaire et d’un théâtre au carrefour de plusieurs voies, l’absence de structures d’habitat connues pose cependant question. Plusieurs mentions de découvertes de tuiles et de céramique à proximité tendent néanmoins à montrer que ces constructions ne seraient pas isolées avec presque 20 bâtiments signalés par l'abbé Dercier.

Voingt

Si la qualification d’habitat groupé pour ce site ne fait aucun doute, beaucoup de questions sont encore présentes : morphologie, densité de l’habitat, présence de rues, de monuments publics… Seule une reprise intensive des études sur ce site permettrait d’apporter des réponses (prospections géophysiques, fouilles extensives) et d’étoffer le dossier des agglomérations arvernes suffisamment connues pour appréhender leur morphologie et leur rôle au sein de la cité.