Ahun
Identification
Environnement géographique
Situation
La commune est située au sud-est de Guéret (voir notice) et au nord-ouest d’Aubusson.
Topographie et altitude
Environnement géographique
Le sous-sol est composé de monzogranite, faciès à grain moyen, à tendance porphyroïde et texture.
J.-M. Desbordes (1976 : 461) : "Elle coïncide avec un bassin houiller dont le charbon de terre a pu être exploité précocement puisque les veines du carbonifère affleurent sur le versant de la rive gauche. Des filons de quartz aurifère et plombifère existent enfin près du village de Mornat, commune de Saint-Pardoux-les-Cards, et au Cluzeau, près de Lavaveix-les-Mines. Du minerai de fer a été décelé à Chanteau, commune d'Ahun, et près d'Issoudun, au lieudit Les Ferriers".
Réseau hydrographique
Historique des recherches
Dès le XVIe siècle, l’érudition fait mention du vicus d’Acitodunum, station de la Table de Peutinger (notaire Evrard). Par la suite, G. Janicaud réalise quelques découvertes sur la commune en 1925 et 1929. En 1972, le guide du Touring Club de France fait mention de plusieurs sites sur la commune. Dans les années 1980, C. Aumasson et D. Dussot réalisent plusieurs découvertes sur la commune. Enfin, depuis 2008 C. Chevalier réalise des campagnes de prospections sur la commune. On signalera que M. Peyne a soutenu en 2011 un mémoire de master 2 sur le canton d'Ahun (Peyne 2011). La même année, G. Rolland a soutenu un mémoire de master 1 sur la question des marqueurs funéraires lémovices intégrant les découvertes des communes d'Ahun et Moutiers-d'Ahun et A. Blanc, un mémoire de master 2 sur l'épigraphie de la cité des Lémovices, pour laquelle Acitodunum est un site important.
Une synthèse des connaissances anciennes est proposée par G. Janicaud en 1935 (MSSNAC, 26-1, p.42-47.
Parmi les éléments d'architecture, J.-M. Desbordes (1976 : 468) rapporte les propos de J.-F. Bonnafoux (d'après G. Janicaud) : "Des fragments de colonnes, bases et chapiteaux sont inclus en réemploi dans les maisons d'Ahun et Bonnafoux signale les ruines d'une colonnade sur stylobate enter Ahun et Le Moutier, sans préciser d'avantage".
En 1992, J. Sabourin (1992 : 453) met en garde contre des déplacements, comme pour la borne, de vestiges qui ont pu être conservés au Moutier d'Ahun, dits venant d'Ahun mais venant peut-être de Chantaud. L'auteur propose également une cartographie de ces découvertes réalisées en prospection.
Sources
Texte
G. Janicaud (1935 : 47) rappelle le passage de la Vie de Saint-Martial et la description faite du site d'Ahun. L'apôtre, vers le milieu du IIIe siècle aurait converti 2 600 personnes, ce qui indiquerait, pour l'auteur, une population au moins du double mais l'extension des vestiges le conduit à proposer environ 10 000 habitants. Pour lui, la tradition locale ne donne pas autant de succès à Martial, il aurait été flagellé puis chassé. Ce serait alors saint Sylvain qui aurait été le véritable évangélisateur d'Ahun, où il aurait été martyrisé en 407, non à l'emplacement de l'agglomération d'Ahun, que G. Janicaud indique détruite en 270 du fait du passage des "barbres" mais à l'emplacement du "camp" réoccupé aux IIIe et IVe siècle (Janicaud 1935 : 46).
Epigraphie
ILA
Type d'inscription
Texte
D • M • | ET MEMO | CORNEL VIC | TORISV•ET IVL• | MALLONIAE | CONIVGI •V P
Type d'inscription
Type d'inscription
Type d'inscription
Type d'inscription
Chronologie
Evolution ultérieure
Phasage:
Siècle
Fiabilité
Siècle
Fiabilité
Siècle
Fiabilité
Siècle
Fiabilité
Siècle
Fiabilité
Siècle
Fiabilité
Siècle
Fiabilité
Siècle
Fiabilité
Topographie
Etendue supposée
Phase
Fiabilité
Superficie
Phase
Fiabilité
Superficie
Réseaux
Voies terrestres:
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Organisation
Infrastructures liées à l'eau
Sources et puits
Edifices publics
Edifices religieux et nécroples
Temples et sanctuaires
Identifiant
Sépultures isolées
Nécropole
Identifiant
Identifiant
Type de sépulture
Nombre de sépultures
Coffre funéraire
Identifiant
Habitat
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Identifiant
Activité, production et échanges
Artisanat
Le territoire
Terroir
En 2014, a été prospecté le territoire du village de Chantaud, commune de Saint martial le Mont, situé au sommet d'une colline, à 3,4 Km à vol d'oiseau du centre supposé de la ville d'Acitodunum. Ce secteur est connu depuis longtemps pour receler des vestiges antiques.
Le site de Chantaud se caractérise par une nappe continue de débris regroupant fragments de tuiles rondes (imbrex), de tuile à rebard (tagulae) et de céramiques communes. Toutefois cette nappe d'épandage est peu dense et n'a rien à voir avec celle présente sur le site d'Acitodunum et on y rencontre peu de tessons de céramique. Elle couvre une superficie totale de 19 ha.
Lors de l'enquête orale les habitants ont signalé la remontée de fragments de tuiles à rebord, de poteries et blocs de gros appareil lors de la construction de pavillons neufs.
Il a également été signalé la présence des "puits de Chantaud". On rencontre en effet de nombreux puits, situés dans le village sur des parcelles publiques ou privées ou également en plein champ, ou en bordure de bois. Certains de ces puits possèdent encore une margelle monolithe. Ce type de margelle est datée par Dominique Dussot comme d'époque romaine. Un des puits a été vidé par son propriétaire. Il en a remonté des fragments de vase à eau du IIème siècle ap. JC.
Les réemplois sont nombreux dans le village : petit appareil, gros appareil, conduite d'eau en pierre, partie inférieure d'un coffre funéraire, socle de croix rappelant un autel gallo-romain auquel il manque la base, pierre de l'église pouvant être une stèle funéraire antique retaillée ou le réemploi d'une pierre tombale plus tardive, bénitier de l'église reposant sur un élément de colonne antique avec son tore, double coffre funéraire appelé "Pierre des Mesures" à la sortie du village, stèle funéraire du IIème siècle ap. JC dans une porte de grange au lieu-dit La Couchezotte, fut de colonne avec feuilles d'acanthe sur la place de Saint martial le Mont...
L'inventaire des objets trouvés à Chantaud et conservés au Musée de guéret à été effectué, permettant de préciser les période d'occupation :
- lames en silex et pointe de flêche
- haches en pierre polie néolithiques
- 50 av JC à 50 ap JC : 2 fibules du dégut Ier siècle ap J-C, gobelet style Acco produit de -50à +50, écuelle à bord entrant de 50 av JC à la fin du règne d'Auguste
- canthare fin Ier siècle ap. JC
- céramiques communes du Ier siècle ap JC et fin Ier siècle ap JC
- céramiques communes des Ier, IIeme et IIIème siècles ap JC
- vase votif IIème siècle ap. JC
- seau métallique du Haut-Empire
- statuettes : déesse à capuche et gladiateur (Ier à IIIème ap JC) statuette de cheval (Ier et IIème ap JC) base de statuette de chien, 2 Vénus Anadiomène (1 de marque PRISCUS) et Risus (IIème ap. JC)
- céramique sigillée Gaufresenque Ier siècle ap JC
- céramique sigillée Lezoux IIème siècle ap JC dont marque PATERNUS
- antéfix du Haut-Empire
- urne funéraire IIème-IIème ap JC
- lampes à huile : IIème et IIIème ap JC
- quelques tessons de céramique sigillée tardive des ateliers de l'Est de la Gaule : IVème et Vème ap. JC
- mortier IVème ap. JC
L'occupation romaine commence sous la pétiode augustéenne, mais est peu importante. Elle atteint son maximum fin Ier et IIème et IIIème siècles ap. JC et diminue fortement au IVème siècle ap JC pour devenir résiduelle à la fin de ce siècle.
Habitat rural
Plusieurs importantes villae sont localisées dans l’environnement proche de l’agglomération :
- le site de Massenon [EA 230010002] qui est accompagné d’une riche sépulture avec un sarcophage en granite (1,50 x 0,62 m), d'une figurine de cheval, de la vaisselle en verre, en sigillée, en métallescente et en céramique commune. Cette sépulture, mise au jour en 1987 lors du creusement d'une tranchée de drainage, à 2 m de profondeur et à 25 m au sud-ouest de la villa, est datée du début de la deuxième moitié du IIe siècle (Aumasson, Dussot 1988). Il s'agirait de la sépulture d'un enfant de 5 ou 6 ans en raison de la dimension de la cuve (Aumasson, Dussot 1988 : 124). Une première sépulture [parcelle F 47, propriété de P. Lagier] aurait été mise au jour, une dizaine d'années après les fouilles menées sur la villa (Aumasson, Dussot 1988 : 123). Entre 1972 et 1978, R.-P. Bordier a dirigé des sondages puis une fouille de sauvetage sur la villa (de Kisch 1975 : 443 ; Aumasson, Dussot 1988 : 123). L'occupation de la villa est datée entre le milieu du Ier siècle et la fin du IIIe siècle (Aumasson, Dussot 1988 : 123).
- une deuxième importante villa a été mise au jour en 1927 à Ayen [EA 230010009], au sud de l’agglomération. Les fouilles ont dégagé un escalier avec des dalles de 1 x 0,80 x 0,35 m prolongé par un mur en petit appareil en direction du nord. Il limitait à l’est par une petite pièce de 2 x 2 m dont le comblement montrait des traces d’incendie et recouvrait une "sorte de" dallage de tegulae reposant sur de béton. Des fragments de mosaïque et de marbre ont été retrouvés dans les niveaux de démolition. La pièce était fermée au nord par un mur en petit appareil et à l'ouest par un mur dont le soubassement était réalisé en pierres de taille (1 x 0,80 x 0, 35 m). La surface des murs était recouverte de mortier de chaux et de sable avec une surface blanche accueillant des décors de fleurs rouges. Plusieurs autres murs en petit appareil formaient une multitude de pièces en direction de l’ouest. Le mobilier mis au jour comprend des sigillées, des céramiques noires, grises, des poids de tisserand, une demi-colonne engagée, des blocs de mosaïque, des fragments de marbre taillés en losanges, différentes meules, des conduits en granite à section semi-circulaire aboutissant dans un bac de fontaine, des fragments d’hypocauste (système d'hypocauste avec dés de granite, dés de brique et colonettes classiques) et d’enduits peints (rouge, bleu, vert et gris). Trois monnaies ont pu être identifiées : deux grands bronzes de Marc-Aurèle et de Sévère Alexandre et un dernier d'argent de Gordien (Janicaud 1927 : 548-549). À 250 m du bâtiment, une nécropole (env. 1 are) a livré une trentaine de coffres en granite, de petite taille, avec leur couvercle mais un mobilier céramique pauvre et aucune urne. J.-M. Desbordes (1976 : 468) évoque, lui (à partir de G. Janicaud), "cinquante coffres funéraires surmontés de couvercles en pomme de pin furent exhumés". Il est intéressant de noter que la mosaïque mise au jour sur le site utilise des tesselles en céramique sigillée datées de la seconde moitié du IIe s. (Lavagne 1987 ; Lintz 1987).
Enfin, à Chanteau [ = Chantaud, commune de Saint-Martial-le-Mont : des "vestige gallo-romain" et une "colonne gallo-romaine sont indiqués sur la carte IGN], des substructions proches d’une nécropole à incinération (coffres et puits (une centaine)) ont été mises au jour (Desbordes 1976 : 468). Auparavant, Anonyme (1847, 43) [= Comte-rendu 1838] rapporte : "A Chanteau, sur les bords de la Creuse, à peu de distance du Moutier-d'Ahun, sur la route de Clermont à Poitiers, il existe des ruines romaines où l'on trouve des objets très-curieux. Les vases 1 et 3 (planche VI) y ont été découverts en 1833". En 1862, A. Fillioux indique la découverte "à Chanteau, commune de Saint-Martial-le-Mont, une autre monument digne d'être conservé : c'est un cippe gallo-romain, à base carrée et surmonté d'un fronton triangulaire ; sa hauteur est de 1,13 m et sa largeur de 0,76 m. Sur la face principale on voyait une inscription funéraire dont il ne reste plus que la première ligne : D. M. E T M. / . . . . . . . / . . . . . . . Ce cippe est en granit à gros grains, il avait été trouvé d'abord à la Couchezotte, puis transporté à Chanteau, même commune. La localité de Chanteau est très-riche en antiquités gallo-romaines et le Musée de Guéret possède plusieurs vases cinéraires de cette provenance. Nous avons dans nos cartons un dessin de ce cippe qui nous a été envoyé par M. Jorrand, notaire à Ahun". En 1862, de Cessac (1862 : 219) ajoute à son propos que le fronton est bordé d'une moulure dont le centre est occupé d'une "sorte de rosace" ; sur la "caisse" : "la cavité dont est creusé cette boîte est beaucoup plus grande que celle des boîtes ordinaires, tant en largeur qu'en profondeur, et son diamètre plus grand au milieu qu'au sommet".
En 1931, G. Janicaud (1931 : 74-78) publie une liste des noms de potiers retrouvé à Chanteau, 74 noms lisibles dont : 2 italiens, 1 de Saint-Rémy-en-Rollat, 20aine de La Graufesenque (Ier s.), 3 de Montans ou Banassac, 9 de Lezoux (IIe-IIIe s.). Il faut rajouter aussi un vase du potier italien ACO. Seuls les vases de Lezoux sont moulés, les autres sont en sigillée lisse. Trois noms (CASSIGNITI, HAMVC, IVL. VIB.:..) ont été trouvés à Ahun.
En 1935, G. Janicaud (1935 : 45) donne le nom de Cantoialum qu'il qualifie de faubourg pour le site de Chanteau. Il y signale aussi la présence de canalisations en granite, un double coffre en granite, ainsi que de nombreux objets métalliques (dont deux anses en bronze d'oenochoé avec une représentation de la louve et de Romulus et Rémus) retirés des "puits funéraires".
Au lieu-dit Le Mas [parcelle AK 91 ; EA 230010022], M. Bordier a observé une structure antique (env. 15 x 35 m) en cours de destruction par le propriétaire de la parcelle en cours de déboisement. Il a retrouvré de la céramique sigillée du IIe siècle (Desbordes 1979 : 481).
Au village de La Chezotte [EA 230010006], le Dr. Camille Aumasson a fouillé une structure gallo-romaine en 1980. La construction est alterrée par les labours mais le site semble occupé au IIe s. (Desbordes 1981 : 460).
Synthèse
Bilan
Il s’agit sans doute de l’une des plus importantes agglomérations de la cité des Lémovices. Si beaucoup d’éléments funéraires ou architecturaux sont en remploi dans le bourg et fournissent un aspect de la monumentalisation du site, ils apportent peu d’informations sur la morphologie. Différents espaces (funéraires, thermaux, habitats) se dessinent sans pour autant fournir une riche information sur la structuration de l’agglomération, la densité de l’occupation et l’urbanisation de cette dernière. Il ne fait cependant pas de doutes qu’une agglomération est installée à cet important carrefour routier et l'on peut la classer au rang de fiabilité 2 des agglomérations avérées.
Bibliographie
Bibliographie
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