Département
Nom commun | Bilan (Coupé) |
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Ambert | |
Artonne | |
Blanzat | |
Blot-l'Eglise | |
Briffons | Le dossier archéologique disponible incite à suivre la proposition de Ch. Mennessier-Jouannet et d’interpréter ce site comme un habitat rural de type villa. En effet, les données sont insuffisantes pour soutenir l’hypothèse d’une agglomération. Il convient donc de classer cette proposition au rang de fiabilité 0 des sites rejetés. |
Ceyrat | |
Chamalières | |
Charbonnier-les-Mines | |
Clermont-Ferrand | |
Col de Ceyssat | |
Corent | |
Cournon-d'Auvergne | |
Courpière | |
Gelles | Les découvertes sur la commune sont insuffisantes, actuellement, pour maintenir l’hypothèse d’une agglomération (fiabilité 0 des sites rejetés). Cependant, la présence, semble-t-il d’une importante nécropole (cette importance reste cependant à définir) qui ne pourrait être liée à un simple habitat rural isolé et le passage de la voie pourrait étayer l’idée de l’installation d’une agglomération, première à l’ouest de la chaîne des puys sur l’axe Clermont-Saintes. |
Issoire | |
La Roche-Blanche | |
Lastic | Les données archéologiques disponibles sur ce site sont malheureusement insuffisantes (fanum, voie) pour justifier l’hypothèse d’une agglomération. Seules de nouvelles recherches sur l’environnement immédiat du fanum permettraient d’appréhender le contexte archéologique. De fait, il convient, par prudence et en l’absence d’attestation archéologique suffisante, de classer cette proposition au rang de fiabilité 0 des sites rejetés. |
Le Broc | |
Le Mont-Dore | |
Les Martres-d'Artière | L’occupation antique sur la commune des Martres-d’Artière est riche et de mieux en mieux connue par l’apport de l’archéologie préventive et aérienne. Cet apport récent (2003, 2004 et 2009) permet d’interpréter les sites mis au jour comme une villa viticole (Champ Chalatras), une structure antique peut-être en lien avec la viticulture (Le Marais) et un sanctuaire (La Borde). |
Les Martres-de-Veyre | |
Lezoux | |
Mazaye | Les informations archéologiques disponibles pour le secteur de la Croix de Couheix restent faibles pour pouvoir avancer la présence d’une agglomération antique. Même si une occupation a bien été démontrée, les données disponibles sont trop limitées pour soutenir l’hypothèse d’une agglomération, uniquement fondée sur la mesure de distance sur la Table de Peutinger (Clémençon, Ganne 2009 : 161). Il semble alors plus prudent, dans l’attente de nouvelles découvertes qui viendraient enrichir ce dossier, de classer cette proposition au rang de fiabilité 0 des sites rejetés. |
Moissat | Les découvertes sur la commune de Moissat, ne permettent pas de soutenir la proposition d’une agglomération antique. Si la commune est riche de sites romains, leur dispersion sur le territoire de la commune et les données archéologiques disponibles attestent une mise en valeur importante de la plaine par un maillage d’habitats ruraux dont les plus importants peuvent être interprétés comme des villae. De fait, il convient de classer cette proposition au |
Olby | Les découvertes faites sur la commune sont insuffisantes pour soutenir l’hypothèse d’une agglomération antique uniquement justifiée par le passage de la voie antique. De fait, cette proposition est classée au rang de fiabilité 0 des sites rejetés. |
Pérignat-sur-Allier | |
Riom | Si la commune de Riom apparaît comme un vicus mérovingien, les découvertes archéologiques pour l’Antiquité ne permettent pas de valider une origine antique à ce dernier sous la forme d’une agglomération, comme le proposait G. Fournier (1962 : 138). En effet, l’interprétation comme habitats ruraux et sanctuaire des sites recensés n’est pas à remettre en question et la dispersion de ces derniers sur la commune ne trahit aucun éventuel |
Saint-Germain-Lembron | Si la proposition d’une agglomération antique à l’emplacement d’un vicus mérovingien est fréquente, les données archéologiques actuellement disponibles pour la commune de Saint-Germain-Lembron, ne permettent pas de soutenir cette dernière mais plutôt de proposer une mise en valeur de cette plaine par différents habitats ruraux de type villa. De fait, il convient de classer cette proposition au rang de fiabilité 0 des sites rejetés. |
Thiers | Si l’occupation groupée mérovingienne est bien attestée par les textes, une éventuelle origine antique ne semble pas évoquée. Cette absence de données textuelles sur une occupation antique est corrélée par la quasi-absence de données archéologiques. Il semble donc difficile de soutenir l’hypothèse d’une agglomération antique sur le seul fait d’un castrum mérovingien. Ainsi, il convient de classer cette proposition au rang de fiabilité 0 des sites rejetés. |
Vic-le-Comte | Les informations disponibles sur cette commune sont trop faibles pour justifier de la présence d’une agglomération antique au seul argument qu’il s’agisse d’un vicus mérovingien. Aussi cette proposition est classée au rang 0 des sites rejetés. |
Voingt | Si la qualification d’habitat groupé pour ce site ne fait aucun doute, beaucoup de questions sont encore présentes : morphologie, densité de l’habitat, présence de rues, de monuments publics… Seule une reprise intensive des études sur ce site permettrait d’apporter des réponses (prospections géophysiques, fouilles extensives) et d’étoffer le dossier des agglomérations arvernes suffisamment connues pour appréhender leur morphologie et leur rôle au sein de la cité. |
Vollore-Ville | Les seuls vestiges antiques pour cette commune sont la borne milliaire et le passage de la voie. Quelques fragments de tegulae sont également signalés sur le sommet du Grun de Chignor. Ces découvertes sont dont trop faible pour soutenir l’existence d’une agglomération, et il convient de proposer un classement au rang de fiabilité 0. |